Evaluation n°5

Les évaluations de cette semaine sont sur des chansons de "Michel Sardou".Vous devez choisir parmis ces 4 titres suivant :

-"FEMME DES ANNEES 80"
-"LES LACS DU CONEMARA"
-"LA JAVA DE BRODWAY"
-"J'ACCUSE"

Vous n'aurez pas de danse à présenter lors de ses évals.


Vous avez jusqu'a Dimanche 21h00 pour poster vos évals

bonjour
je vais vous interprété les lac du conemara


Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

regardes les profs

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

a beaucoup d'emotion

Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.

regarde mathieu

Sean Kelly s'est dit :
"Je suis catholique.
Maureen aussi."
L'église en granit
De Limerick,
Maureen a dit "oui".

danse

De Tiperrary
Bally-Connelly
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.

Y avait les Connor,
Les O'Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.

Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là-bas, au Connemara,
On dit que la vie
C'est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.

Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.

On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu'on voit nager
Certains soirs d'été
Et replonger
Pour l'éternité.

On y voit encore
Des hommes d'ailleurs
Venus chercher
Le repos de l'âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.

L'on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.

Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là-bas, au Connemara,
On n'accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d'Angleterre


met la meme musique quelle a chanter
puis commence a tourner
et a danser la danse quelle avait preparer
puis prend un mannequin a plastic et danse la contry

merci de m'avoir regarder et ecouter au revoir et bonne fin de journer

bonjour je vé vous interpreté etre une femme ou femme des années 80Dans un voyage en absurdie
Que je fais lorsque je m'ennuie,
J'ai imaginé sans complexe
Qu'un matin je changeais de sexe,
Que je vivais l'étrange drame
D'être une femme.

était tous joyeux de chanter devant ces profsFemme des années 80, il mit une peruque de femme
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80, il mit une robe de femme qu'il avait enprunté a elfyMoins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie
Rouler des patins aux conscrits.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
Être un flic ou pompier d'service
Et donner le sein à mon fils.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Une maîtresse Messaline
Et contremaîtresse à l'usine,
Faire le matin les abattoirs
Et dans la soirée le trottoir.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
En robe du soir, à talons plats,
Qu'on voudrait bien app'ler papa.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme et gardienne de prison,
Chanteuse d'orchestre et franc-maçon,
Une strip-teaseuse à corps perdu,
Emmerdeuse comme on en fait plus.

Femme conducteur d'autobus,
Porte des halles, vendeuse aux puces,
Qu'on a envie d'appeler Georges
Mais qu'on aime bien sans soutien-gorge.

Femme des années 80, et il dansa comme une vrai fille
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80, il ne pouver plus s'arreté de danser mé il avait mit beaucoup dans la voix car se n'ai pas de la rigoladeMoins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie,
Rouler des patins aux conscrits.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme des années 80,et il ofra a chaque membre des profs un gros bisousMoins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

gael avait fini c evals mais il tenait a dire un mot au profs: voila tout dabord je vous remerci de tous vos conseil ke vous me donné je ne savait rien quand je suis arriver ici et maintenant avec vous j'ai progresser et je continurer a progresser pour ke vous soyer fier de moi je vous remerci beaucoup sa vien de mon coeur* et gael avait les larmes aux yeux* et il rentra au chateaux

+ Dominique entra dans la salle d'évaluations avec le sourire +

Bonjour !

+ Elle portait un boa en plume rose autour du cou et avait un joli chignon +

Dominique chante le premier couplet avec enthousiasme et offre un véritable show aux profs.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Ça swingue comme à Meudon.
On s'défonce, on y va : pas besoin d'beaujolais
Quand on a du bourbon.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Dominique s'avance vers les profs et continue de chanter puissance et force. Elle s'amusait beaucoup et prenait du plaisir à chanter.
Quand on est fin bourrés, on se tire des bordées
Sur la 42ème.
On rigole et on danse comme à Saint-Paul De Vence
Jusqu'à la 50ème.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Dominique mêla danse et chant et offre toujours un super spectacle aux profs.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Y a des chiens dans les bars.
Quand arrivent les nanas, quand on est au complet,
On décerne les oscars.
C'est peut-être pas les vraies de vraies,
Les nanas de Broadway,
Oui mais c'est ça qui plaît.

Dominique prit une chaise sur le côté et se mit à danser dessus tout en chantant.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
On dort sur les trottoirs.
Quand on nous sort de là, c'est à coups de balai,
A grands coups d'arrosoir.
Et on ne sait plus à midi
Si l'on est à Clichy ou en Californie.

Dominique chantait juste et avec précision. Elle trainait son boa à terre.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Ça swingue comme à Meudon.
On s'défonce, on y va : pas besoin de beaujolais
Quand on a du bourbon.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Dominique était vraiment concentrée et offrait du plaisir.
Elle teintée de blues et de jazz et de rock.
C'est une java quand même.
Quand on est dix ou douze, quand les verres s'entrechoquent,
On n'voit plus les problèmes.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Pour finir sa chanson, Dominique se lanca dans une danse enflammée pleine de vitalité. Elle était à fond dans la chanson et la finit avec douceur..
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Ça swingue comme à Meudon.
On s'défonce, on y va : pas besoin d'beaujolais
Quand on a du bourbon.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.


Bonne journée..

+Dominique sort de la salle+

"Bonsoir!!! alors, moi, je vous fais visiter l'Irlande, d'où le fait que je suis en kilt!"

Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.

Sean Kelly s'est dit :
"Je suis catholique.
Maureen aussi."
L'église en granit
De Limerick,
Maureen a dit "oui".

De Tiperrary
Bally-Connelly
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.

Y avait les Connor,
Les O'Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.

Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là-bas, au Connemara,
On dit que la vie
C'est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.

Pendant l'instrumentale, Bastien danse la guigue^^

Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.

On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu'on voit nager
Certains soirs d'été
Et replonger
Pour l'éternité.

On y voit encore
Des hommes d'ailleurs
Venus chercher
Le repos de l'âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.

L'on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.

Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là-bas, au Connemara,
On n'accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d'Angleterre

Judith rentra dans la salle pour passer ses évals.Elle était habillé d'un jupon et d'un bustier et autour du cou elle avait un boa en plume

Bonjour

Judith se placa au fond de la salle et se mit de dos et quand la musique commenca elle tourna la tete sur le coté et commenca à chanter tout en douceur et en prenant du plaisir.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Ça swingue comme à Meudon.

Judith se retourna complétement et continua de chanter.Elle souriait et prenait beaucoup de plaisir sur cette chanson et cela se voyait
On s'défonce, on y va : pas besoin d'beaujolais
Quand on a du bourbon.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Judith s'avanca vers le milieu de la salle tout en continuant de chanter,tout en chantant avec une de ses mains elle jouait avec son boa qu'elle avait autour du cou.
Quand on est fin bourrés, on se tire des bordées
Sur la 42ème.
On rigole et on danse comme à Saint-Paul De Vence
Jusqu'à la 50ème.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Judith s'avanca vers la table des profs et s'assit dessus.Elle chanta juste et prenait toujours autant de plaisir.Elle continuait de jouer avec son boa.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Y a des chiens dans les bars.
Quand arrivent les nanas, quand on est au complet,
On décerne les oscars.
C'est peut-être pas les vraies de vraies,
Les nanas de Broadway,
Oui mais c'est ça qui plaît.

Judith se releva de la table et retourna vers le centre et tout en chantant elle se mit à danser.Elle avait toujours le sourire et arriva a faire passer le plaisir qu'elle prenait sur cette chanson.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
On dort sur les trottoirs.
Quand on nous sort de là, c'est à coups de balai,
A grands coups d'arrosoir.
Et on ne sait plus à midi
Si l'on est à Clichy ou en Californie.

Judith dansa et fit des mouvements avec son boa puis se ravanca vers la table des profs tout en chantant avec toujorus autant t'entrain et d'enthousiasme.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Ça swingue comme à Meudon.
On s'défonce, on y va : pas besoin de beaujolais
Quand on a du bourbon.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Elle monta sur la table et dansa en chantant juste et elle passa son boa autour du cou de kamel.
Elle teintée de blues et de jazz et de rock.
C'est une java quand même.
Quand on est dix ou douze, quand les verres s'entrechoquent,
On n'voit plus les problèmes.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Elle resdecendit de la table et finit de chanter toujours avec le sourire et juste.Elle autant de plaisir meme plus qu'au début de la chanson et cela se voyait qu'elle avait prit du plaisir.
Quand on fait la java, le sam'di à Broadway,
Ça swingue comme à Meudon.
On s'défonce, on y va : pas besoin d'beaujolais
Quand on a du bourbon.
C'est peut-être pas la vraie de vraie,
La java de Broadway,
Oui mais c'est elle qui plaît.

Tout au long de sa chanson Judith avait chantée juste et était vraiment rentrée dans la chanson et avait prit énormement de plaisir à faire cette chanson et cela s'était vue qu'elle s'était donnée à fond tout en prenant du plaisir.Elle avait aussi gardé le sourire tout au long de la chanson.Elle dit au prof

Au revoir

Et elle sortit ensuite de la salle d'éval

MICHEL SARDOU " FEMME DES ANNEES 80 "


+ J'arrive dans la salle d'évaluation, et dit : ... Bonjours, vous allez bien ??? +

* Je suis habillés avec une perruque noir et une robe rouge, est sr de lui, et pas trop stresser *
Place son micro au centre de la salle ... puis commence ..... *

[color:a3df=indigo:a3df]Dans un voyage en absurdie
Que je fais lorsque je m'ennuie,
J'ai imaginé sans complexe
Qu'un matin je changeais de sexe,
Que je vivais l'étrange drame
D'être une femme.

Femme des années 80, ° EST DEVANT LE JURY ET DANSE EN MEME TEMPS °
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie
Rouler des patins aux conscrits.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
Être un flic ou pompier d'service
Et donner le sein à mon fils.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Une maîtresse Messaline
Et contremaîtresse à l'usine,
Faire le matin les abattoirs
Et dans la soirée le trottoir.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
En robe du soir, à talons plats,
Qu'on voudrait bien app'ler papa.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme et gardienne de prison,
Chanteuse d'orchestre et franc-maçon,
Une strip-teaseuse à corps perdu,
Emmerdeuse comme on en fait plus.

Femme conducteur d'autobus,
Porte des halles, vendeuse aux puces,
Qu'on a envie d'appeler Georges
Mais qu'on aime bien sans soutien-gorge.

Femme des années 80,
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie,
Rouler des patins aux conscrits.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

" Est super content de moi, je pense avoir réussis cet évaluations, car j'ai beaucoup travailler et répéter, et espere avoir une bonne note "

""Pour la danse, j'ai choisis de vous interpréter une chorégraphie que j'ai creer, dans le chateau . La chanson est de MADONNA : Hung up ... c'est partis ..... ""

... fais des sauts, ..... fait des pas au sol ... est dans le rythme ....

/ Voila, merci et passez une bonne journée /

/ ma conclusion des évaluations : est super content de moi ! /

Céline arriva dans la salle habillé en petite lolita ecossaisse . Elle avais mis une jupe courte plissée ecossaise avec des chaussures et des grandes chaussettes . Elle avait une chemise blanche et s'était faite des couettes . Elle entra et dis bonjour au prof , elle allait interpreté le lac du connemara et elle mit la bande son et commenca a chanter doucement en s'appliquan au maximum , elle avait travailler afind epresenter une bonne évalutaion , elle commence alros a chanter en faisant des petit pas de danse ecossais et en faisant la petite fille

elle commenca au bout de la salle
Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

tout en chantant et en sautillant elle avanca vers le bureau
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

elle etait devant le bureau et commence quelques petits pas avec ses jambes en tenant sa jupe
Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.

elle fit alors le tourde la salle en sautillant et en chantant
Sean Kelly s'est dit :
"Je suis catholique.
Maureen aussi."
L'église en granit
De Limerick,
Maureen a dit "oui".

De Tiperrary
Bally-Connelly
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.

Y avait les Connor,
Les O'Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.

elle revient se placer au centre et commence a chanter en tendant les bras
Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là-bas, au Connemara,
On dit que la vie
C'est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.

Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.

On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu'on voit nager
Certains soirs d'été
Et replonger
Pour l'éternité.

On y voit encore
Des hommes d'ailleurs
Venus chercher
Le repos de l'âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.

L'on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.

Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là-bas, au Connemara,
On n'accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d'Angleterre...


elle termine de chanter , elle avait donné son maximum et s'était amusé . Elle dit alors aurevoir aux porofs et sort

bonjour
je vais vous interprété Les lacs du Connemara


*Commence a chanter tout doucent
Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.
*AVANCE VERT LES PROFESSEUR*
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.
*mais de lémotion a la chanson*
Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.
*monte la voix *
Sean Kelly s'est dit :
"Je suis catholique.
Maureen aussi."
L'église en granit
De Limerick,
Maureen a dit "oui".
*marche tout doucement*
De Tiperrary
Bally-Connelly
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.
*regarde les prof*
Y avait les Connor,
Les O'Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.
*ce couche parterre*
Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là-bas, au Connemara,
On dit que la vie
C'est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.
*se releve tout doucement *
Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.
*fait un sourire *
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.
*hurle CONNEMARA*
On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.
* chante doucement*
On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu'on voit nager
Certains soirs d'été
Et replonger
Pour l'éternité.
*regarde richard *
On y voit encore
Des hommes d'ailleurs
Venus chercher
Le repos de l'âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.
*regard raphy*
L'on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.
*regarde alexia*
Là-bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là-bas, au Connemara,
On n'accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d'Angleterre...

Merci a vous bonne journée

EVALUATION DE MARINA
Marina ne peut pas passer ses évals car elle n'est pas la ce week end et dans la semaine elle m'as demandé par MP de poster ses évals.Donc voici l'évaluation de Marina.


Marina arriva dans la salle d'évaluation en souriant, elle était déguisé en homme avec un chapeau melon, des lunettes de soleil et un grand blouson en cuir noir. Elle salua ses professeurs et s'installa au centre de la salle, elle les regarda et commença sa chanson.

Dans un voyage en absurdie
Que je fais lorsque je m'ennuie,
J'ai imaginé sans complexe
Qu'un matin je changeais de sexe, Elle enleva ses lunettes de soleil
Que je vivais l'étrange drame Elle enleva son chapeau
D'être une femme. Elle enleva son blouson et le jetta sur la table de ses professeurs.

Elle portait un maquillage très féminin, ses cheveux étaient détachés, elle portait une petite robes noirs et des talons hauts. Elle commença a partir de ce moment là à mettre encore plus de punch dans sa chansons, elle prenait bien garde a sa respiration et à la justesse. Elle regardait ses professeurs en souriant, car elle trouvait cette chanson plutot gaie, mais avec de la détermination dans le regard.

Femme des années 80,
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie
Rouler des patins aux conscrits.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
Être un flic ou pompier d'service
Et donner le sein à mon fils.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Une maîtresse Messaline
Et contremaîtresse à l'usine,
Faire le matin les abattoirs
Et dans la soirée le trottoir.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Enceinte jusqu'au fond des yeux,
Qu'on a envie d'app'ler monsieur,
En robe du soir, à talons plats,
Qu'on voudrait bien app'ler papa.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme et gardienne de prison,
Chanteuse d'orchestre et franc-maçon,
Une strip-teaseuse à corps perdu,
Emmerdeuse comme on en fait plus.

Femme conducteur d'autobus,
Porte des halles, vendeuse aux puces,
Qu'on a envie d'appeler Georges
Mais qu'on aime bien sans soutien-gorge.

Femme des années 80,
Mais femme jusqu'au bout des seins,
Ayant réussi l'amalgame
De l'autorité et du charme.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.

Être un P.D.G. en bas noirs,
Sexy comm'autrefois les stars,
Être un général d'infanterie,
Rouler des patins aux conscrits.

Femme cinéaste, écrivain,
A la fois poète et mannequin,
Femme panthère sous sa pelisse
Et femme banquière planquée en Suisse.

Femme dévoreuse de minets,
Femme directeur de cabinet,
A la fois sensuelle et pudique
Et femme chirurgien-esthétique.

Être un major de promotion,
Parler six langues, ceinture marron,
Championne du monde des culturistes,
Aimer Sissi impératrice.

Femme et gardien de la paix,
Chauffeur de car, agent-secret,
Femme général d'aviation,
Rouler des gamelles aux plantons.

Femme pilote de long-courriers
Mais femme à la tour contrôlée,
Galonnée jusqu'au porte-jarretelles
Et au steward rouler des pelles.

Maîtriser à fond le système,
Accéder au pouvoir suprême :
S'installer à la Présidence
Et de là faire bander la France.

Femme des années 80,
Moins Colombine qu'Arlequin,
Sachant pianoter sur la gamme
Qui va du grand sourire aux larmes.iva dans la salle d'évaluation