Bastien, dans un arbre perché, tennait en ses mains un papier.
Par les paroles allègé, il se prit à chanter
"Terres, brulées, au vent
Des landes de pierres
Autour des lacs, c'est pour les vivants
Un peu d'enfer
Le Connemara.
Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la Terre
C'est pour les vivants un peu d'enfer
Le Connemara..."